Pour les professionnels pour qui la propreté est un détail qui compte plus qu’autre chose, il est en général hors de question de penser à une brosse et serpillière pour faire leurs sols.
En effet, lorsqu’on a plusieurs mètres carrés de surfaces intérieures ou extérieures à traiter, mieux vaut s’équiper d’un outil tout terrain, qui permettra de garantir un gain de temps, de la flexibilité et un nettoyage de qualité. Pour mener à bien ces tâches, les possibilités sont nombreuses, parmi lesquelles, la mono brosse, la balayeuse, et surtout l’autolaveuse.
Très répandue dans les usines, mais aussi tous les grands espaces publics et privés, c’est l’un des moyens les plus efficaces en matière de nettoyage de surface aujourd’hui.
Ainsi, penchons-nous dès à présent sur les autolaveuses.
Les caractéristiques d’une autolaveuse
Choisissez le modèle d’autolaveuse qui respecte et sublime votre sol
L’autolaveuse est tout-terrain et permet avant tout d’avoir un outil intégré. Ainsi, elle permet à la fois d’aspirer rapidement les sols, puis, grâce à une brosse comportant du produit détergent, de les laver, avant, enfin, de les sécher. La puissance de cet outil est telle qu’un seul passage suffit pour sécher entièrement une surface, quelle que soit la nature du sol.
Selon les besoins, notamment la taille de la surface à traiter et l’affinité des équipes de techniciens de surface qui les utilisent, les autolaveuses sont disponibles en trois modes de fonctionnement : autotractée, sans traction et autoportée.
Conçu pour des moyennes surfaces et surfaces pentues de moins de 2000 m², le modèle autotracté a un fonctionnement relativement simple. Il est entraîné par les roues, et le chauffeur n’a qu’à la suivre et la diriger. Elle fonctionne souvent sur réseau ou batterie, et est extrêmement lourde à déplace.
Pour les surfaces de plus de 2000m², mieux vaut se tourner vers l’autolaveuse autoportée. Motorisée ou avec un fonctionnement thermique, elle se conduit comme un petit véhicule. Cependant, bémol avec ce modèle : la version autoportée de l’engin nécessite une zone de passage dégagée pour pouvoir avancer efficacement. L’efficacité qui est, d’ailleurs, un point fort de l’autolaveuse autoportée, puisqu’elle garantit de fortes économies sur le temps passé à nettoyer les sols.
En termes de fonctionnement, l’autolaveuse est alimentée, selon le modèle, par :
- De l’électricité filaire
- Une batterie
- Un fonctionnement thermique
Les autolaveuses fonctionnant à électricité filaire, sont en général des modèles qui présentent un prix accessible, mais l’inconvénient est que cette dernière doit être en permanence branchée sur une source électrique. En effet, avec un câble long en moyenne de 20 m, l’autolaveuse à électricité filaire est d’abord destinée aux petites ou étroites surfaces.
Concernant les modèles à batterie, leur point fort est bien évidemment la liberté de mouvement qu’elles autorisent. Elles sont parfaites pour les espaces encombrés et les zones difficiles d’accès.
Enfin, l’alimentation thermique (diesel, GPL, essence), n’est valable sur les autolaveuses autoportées, destinées aux très grandes surfaces.
Grâce à leur grand réservoir l’autolaveuse permet de travailler sur une très longue durée, en continu, sur de gros volumes. Sa seule contrainte est l’émission de CO2. Il est donc conseillé d’en faire usage en extérieur ou dans des espaces intérieurs bien aérés. Enfin, en dehors d’un modèle équipé d’un moteur électrique, les autolaveuses thermiques restent très bruyantes.
Le compromis entre le prix et la qualité
Quand vient le choix de l’autolaveuse, il faut principalement garder en tête le rendement par rapport aux surfaces à traiter. Avec un écart de prix pouvant varier de 460 à 48 000 euros, mieux vaut être pointilleux et bien regarder : la nature du revêtement à traiter, la surface à traiter, et la taille des réservoirs.
Vous pourrez trouver sur ce site, et à des prix accessibles, des modèles d’autolaveuse.
Ainsi, le choix d’une autolaveuse n’est pas à faire à la légère, sous peine de voir le temps de nettoyage fortement impacté par, un réservoir trop petit, un câble trop court, bref, un modèle qui n’aura pas été bien choisi !